J’ai enfin reçu tout mon matériel. Je vais vous détailler un peu ici mes choix. Je souhaitais avant tout voyager assez léger, mais aussi garder une trace impérissable de ce voyage.

Vue d’ensemble

Comme vous pouvez le constater, j’embarque avec moi 8 réacteurs nucléaires, deux batteries de voiture et un allume-cigare. Tout ça pour dire que je pars quand même assez équipé. Le tout rentre dans mon sac à dos de randonnée qui me sert de bagage en soute. Mon bagage cabine est quasi exclusivement rempli de vêtements et de mon ordinateur portable que je n’aime généralement pas envoyer dans la soute.

Le détail

Je commence bien, j’ai pris ma première leçon de photographie comme vous pouvez le voir sur ces deux dernières images : on ne shoote pas au flash avec le pare-soleil. J’avoue avoir eu la flemme de l’enlever, résultat des courses, je me retrouve avec une magnifique ombre portée en bas des photos. Vu que j’avais trop bien travaillé mon cadrage, je ne peux même pas couper le bas des photos, ça serait encore plus moche !

Appareil Photo

Pour des contraintres de place, d’encombrement et l’aspect pratique j’ai préféré opter pour un bridge plutôt qu’un réflex numérique : pas d’objectif volumineux à trimballer, des réglages moins pointus mais moins compliqués, je peux donc me contenter de sortir l’appareil photo et de shooter rapidement. J’ai investi dans une batterie supplémentaire au cas où et une belle sacoche dans laquelle l’appareil rentre même avec le pare-soleil avec un double fond que je peux replacer les jours couverts. Pour le transport, le double-fond a aussi l’avantage de pouvoir loger la Go Pro dont je vais vous parler dans un instant. D’après mes informations de livraison, le filtre neutre que j’avais pris pour éviter de flinguer l’objectif à la plage devait arriver après mon départ mais j’ai eu un coup de chance pour le coup, il a fini par arriver !

Mon choix s’est porté (merci Fréd pour les conseils) sur un Panasonic FZ200. Ce milieu de gamme a l’énorme avantage d’avoir un excellent zoom : jusqu’à 24X avec une ouverture constante à 2.8. La qualité devrait donc être au rendez-vous, il ne me reste plus qu’à apprendre à m’en servir proprement, je n’y ai encore jamais consacré de temps. Si tout va bien la qualité des photos prise devrait s’améliorer au fur et à mesure.

Go Pro

Vu le programme qu’avait commencé à me décrire Paul pour la Nouvelle Zélande, et vu qu’on risque de se retrouver pas mal sur et sous l’eau avec Mathieu à Tahiti, je me suis dit qu’acheter une Go Pro serait un investissement bien rentabilisé. Si on ajoute à cela qu’il y a de bonnes chances qu’elle me serve aussi au ski et à l’escalade à mon retour, je n’ai pas hésité bien longtemps. Attendez vous donc à avoir droit à quelques captures vidéos.

En ce qui concerne les accessoires, j’ai opté pour deux batteries additionnelles (l’autonomie supposé des Go Pro est d’environ une heure), un chargeur triple et un harnais pour la fixer sur le torse. Je verrai vite à la pratique ce qui est le plus pratique, j’ai aussi les supports de fixation livrés avec la caméra. J’utiliserai sûrement les fixations pour le K1 et le harnais pour le reste. Je vous parlerai du K1 une fois que j’aurais testé, ne soyez pas si pressés !

Comme vous pouvez le constater, il s’agit de la toute dernière Go Pro sortie, la Hero 4 silver. J’ai d’ailleurs un peu galéré à l’avoir à temps aussi. C’est la seule qui dispose d’un écran tactile. Elle est capable de filmer en 4K à 15 fps, 1080p à 60 fps et 720p à 120 fps. Il me sera donc possible de faire de beaux ralentis au besoin. Seuls inconvénients, pas de stabilisateur d’image et comme déjà dit une autonomie pas géniale. Sinon, l’angle de prise de vue sur ces engins est énorme, l’optique d’un très bon niveau et elle est étanche à 40m.

Parakito

Compagnons obligatoires, le bracelet et le roll-on anti-moustiques ! Je ne pourrais pas dire que je n’ai pas été prévenu, il y a de fortes épidémies de dengue et de Chikungunya en ce moment à Tahiti. J’arrive à la mousson ça promet d’être drôle.

Guides de voyage

Je n’ai trouvé que des Petits Futés, en vitesse juste avant de partir. Je n’ai même pas eu le temps de les feuilleter. Ils me serviront surtout d’appoint pour trouver une ou deux idées si à un moment donné je ne sais pas quoi faire de ma journée ou de ma soirée. Je risque fort de m’en servir pour m’orienter en ville aussi, les cartes c’est toujours utile. J’ai beau avoir téléchargé un gps hors ligne (merci OpenStreetMap) et les cartes de mes destinations, on n’est jamais trop prudent.